La photo de Marguerite Duras et Bénédicte Vigner · ÉRIC VIGNER
Il faudrait faire le commentaire de cette photo. Ce serait ça le programme. Cette photo a été prise le 8 octobre 1993 par Alain Fonteray, l'ami photographe, à Lambézellec un village de la banlieue brestoise....
J'ai 17 ans quand je lis LES PETITS CHEVAUX DE TARQUINIA, je découvre le Campari et MARGUERITE DURAS pour toujours. Je saoule probablement la terre entière avec cette passion que j'ai pour elle, ses histoires, ses noms, ses silences et ses cris, ses fleuves et ses villes jusqu...
Si des mots tels que "chair", "corps" ou "physique" reviennent si souvent dans sa conversation, c’est que SOPHIE MARCEAU est une actrice qui, comme elle le dit elle-même, fonctionne d’abord à l’émotion. Elle seule a motivé son grand retour, après...
Lecture par Bénédicte Vigner et Laurent Poitrenaux
Professeur aux Beaux-Arts, Yannick Liron écrit de manière sérielle des textes construits sur les aspects anodins de la vie ordinaire.
Poésie conceptuelle : c'est l'idée de maison, l'idée de ciel qui sont évoquées, avec des changements minimes d'un verset à l'autre, des redites constantes, une sorte de rythme obsédant lié à la répétition.
Aux textes de Yannick Liron se sont intercalés des extraits d'autres auteurs : Jean-Jacques Viton, Katherine Mansfield, Pascale Monnier. Ils offrent l'intérêt de montrer que des écrivains, isolément, utilisent des formes d'expression très voisines pour obtenir un effet esthétique immédiatement reconnaissable.