La Montagne · 6 janvier 2013 · LA PLACE ROYALE

La Montagne · 6 janvier 2013 · LA PLACE ROYALE
LA PLACE ROYALE expose idéalement et en alexandrins le spectacle d'une société sans père.
Presse régionale
Avant-papier
06 Jan 2013
La Montagne
Tous droits réservés

La Montagne

6 janvier 2013

Le début de la trilogie d'Éric Vigner: la place royale aux Trois coquins

Événement inédit en France, début 2013, avec la Comédie de Clermont : l'intégrale de la trilogie d'Éric Vigner avec les acteurs de l'Académie.

Trois textes, trois auteurs, trois pièces, un projet unique : Éric Vigner livre une trilogie sur la jeunesse et la liberté portée par les acteurs de son Académie. 

Tout débutera avec la Place Royale de Pierre Corneillle. Dans ce spectacle où la beauté visuelle propre aux mises en scène d'Éric Vigner prend une tournure baroque, où l'on retrouve le soin qu'il apporte au texte et son incarnation, les alexandrins de Corneille se frottent aux accents des sept jeunes comédiens de l'Académie. Alidor aime Angélique. Angélique aime Alidor. Mais Alidor veut être libre. D'où les intrigues qu'il échafaude pour convaincre Angélique de prendre un autre amant, et tant qu'à faire, son proche ami Cléandre. On dirait, de nos jours, qu'Alidor cherche à se débarrasser d'un lien qui l'entrave. Première des trois pièces choisies, mises en scène et présentées par Éric Vigner pour l'Académie qu'il a créée en octobre 2010, La Place Royale expose idéalement et en alexandrins le spectacle d'une société sans père. Premiers pas dans la modernité...