"A la porte de ce théâtre désaffecté où un échantillon de chair à canon se repasse une dernière fois "la grande illusion", où des chars de carnaval lancent d'inoffensifs feux d'artifice, la mort vient finalement frapper... lourdement. Les cadavres n'ont alors plus de nom, les corps perdent leur tête, les soldats aussi." JEAN-LUC GERMAIN, Le Télégramme, 26 mars 1992